No encuentro palabras para comentar Kalahari 2/2 y me he visto obligado a buscar palabras que no son mías.
( Disculpen las posibles molestias )
I
Et il se sentit très malheureux. Sa fleur lui avait raconté qu'elle était seule de son espèce dans l'univers. Et voici qu'il en était cinq mille, toutes semblables, dans un seul jardin !
"Elle serait bien vexée, se dit-il, si elle voyait ça... elle tousserait énormément et ferait semblant de mourir pour échapper au ridicule. Et je serais bien obligé de faire semblant de la soigner, car, sinon, pour m'humilier moi aussi, elle se laisserait vraiment mourir..."
Puis il se dit encore: "Je me croyais riche d'une fleur unique, et je ne possède qu'une rose ordinaire. Ça et mes trois volcans qui m'arrivent au genou, et dont l'un, peut-être, est éteint pour toujours, ça ne fait pas de moi un bien grand prince..." Et, couché dans l'herbe, il pleura.
II
- Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses:
- Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.
Et les roses étaient bien gênées.
- Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu'elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c'est ma rose.
Et il revint vers le renard:
- Adieu, dit-il...
- Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
Deberíamos -quizá- programar uno de nuestros viajes Jubjub a La Isla de las Palabras, y no solo como turistas sino para volver con las maletas repletas de ellas.
ResponderEliminarMiente Paco desde su Bruselas no natal como un bellaco, al igual que lo hace su homólogo Mariano el no sevillano. Vaya par de verbomotores perezosos: eso mismo que pensaste, tecléalo. Aunque sea twiteándolo.
A no ser que la duda, el temor, ciertos pudores, la falsa humildad, la pereza, el qué dirán, el miedo a molestar y caer mal, el pretexto mentiroso de la ignorancia, el amor incoherente a una intimidad desmesurada, la "falta de tiempo" y alguna cosilla más por ahí suelta ... os lo impidan.
O simplemente, que no os de la gana ya que Jubjub es el Blog de quienes, jubilados, tienen el júbilo suficiente para charlar sobre lo que les viene en gana.
Este es el único caso en que sí lo entendería y me encantaría.
Besos
Tu Kalahari 2/2, tan bien escrito, tan hermoso, me llevó a las palabras
ResponderEliminarque recojo en el Kalahari 3/3.
No son palabras mías, pero recogidas por mí y, de alguna forma, manipuladas.
Expresan de la mejor forma que puedo, mis sentimientos después de la lectura de Kalahari 2/1 y 2/2
Cada uno es cada uno, amigo Amador, y tiene sus "cadaunadas"...
"Me inclino ante ti y te reverencio: quieto, aguanta mi reverencia! No la rechaces, por favor, pues con ella desahogo mis ansias de adoración, de postrarme ante lo mayor y lo distinto.
EliminarTe abrazo con toda mi ternura ..."
¿Quién puede aceptar la reverencia de otra persona sin sentirse un impostor?
ResponderEliminarRAE: Impostor
1.- Que atribuye falsamente a alguien algo.
2.- Que finge o engaña con apariencia de verdad.
3.- Suplantador, persona que se hace pasar por quien no es.